Ce ne sont guère que des épaves qui subsistent de ce prieuré : une transaction datée du 14 novembre 1324 entre Payen de Malestroit et le prieur de Trédion au sujet des droits que le seigneur de Malestroit prétendait avoir sur les habitants de Trédion, et deux pièces de procédures du XVIIIe siècle.