Cécile Brédal, vol avec effraction à Pontivy (1792, 21-22 octobre). Faux assignats (1793, 29 avril). Antoine Caron, grenadier au 109e régiment, accusé de vol (1793, avril-mai). Pierre Dunion, préposé aux fourrages des troupes cantonnées à Sarzeau, Benjamin Salmon, son employé, et Jean-Baptiste Monvoisin, attaché à l'armée navale, accusés d'avoir acheté et vendu des bois provenant d'un chasse-marée abordé au Logeo et appartenant à la République, renvoyé devant un Conseil militaire (an V, 10...
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Cécile Brédal, vol avec effraction à Pontivy (1792, 21-22 octobre). Faux assignats (1793, 29 avril). Antoine Caron, grenadier au 109e régiment, accusé de vol (1793, avril-mai). Pierre Dunion, préposé aux fourrages des troupes cantonnées à Sarzeau, Benjamin Salmon, son employé, et Jean-Baptiste Monvoisin, attaché à l'armée navale, accusés d'avoir acheté et vendu des bois provenant d'un chasse-marée abordé au Logeo et appartenant à la République, renvoyé devant un Conseil militaire (an V, 10 vend.). Julien-Marie Giron, tué accidentellement par son frère (an V, frim.). Joseph Guého, de Sérent, certificat de civisme (an III, 17 frim.). François Lanauz, faux à Hennebont (an II, 25 flor.). Michel et Pierre Le Boursicaut, frères, de Sulniac (an II, 6 fruct.). Vincent Le Duin, de Noyal-Muzillac : certificat de déclaration de l'approvisionnement en grain (an II, 28 mess.). Lemarchand, officier du 2e bataillon de la 17e demie brigade, détenu à Pontivy (an III, 10 vent.). Jacques Lotodé, cordonnier à Vannes, dépréciation d'assignats (an II, fruct.). Jean et François Métayer, de Caden, accusés d'avoir un souterrain pour cacher les brigands : certificat de civisme (an III, 13 vend.). François Oliéro, prisonnier (1793, 28 mars). Femme Onecque à Vannes : lettre (1795, 1er août). Guillaume Séné, couvreur de Sulniac, a recelé Le Monnier cadet, émigré (an II, 7 flor.). Vacherot, volontaire de la 6e compagnie du 2e bataillon, accusé de vol (an II, 9 vent.). Vol dans l'église de Noyalo : rapport de gendarmerie (1792, 15 juin). Inconnu ayant poussé le cri de "Vive le roi" à Melrand (an II, 25 pluv.). La Touche (an VIII, 5 germ.).