Le 9 août 1788, MM. Houet de Chesnevert et Delourme écrivent à MM. les maire et échevins de la ville et communauté de Sarzeau. Ils les informent que le corps municipal de Vannes les a nommés commissaires à l'instar de ceux de Rennes afin "d'entretenir une correspondance (...) et obtenir le...
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Le 9 août 1788, MM. Houet de Chesnevert et Delourme écrivent à MM. les maire et échevins de la ville et communauté de Sarzeau. Ils les informent que le corps municipal de Vannes les a nommés commissaires à l'instar de ceux de Rennes afin "d'entretenir une correspondance (...) et obtenir le rétablissement des droits de la nation et de la Province, et de la magistrature et solliciter l'élargissement des douze gentilshommes bretons détenus à la Bastille". Ils sollicitent l'appui des membres du corps municipal de Sarzeau.
Le 1er février 1789, accusé réception du dépôt par M. Le Quinio de Kerblay, maire et premier député de Rhuis de l'ordre du comte de Thiard portant suspension des états de la Province et interdiction de rasssemblement des trois ordres dans la salle des états de Bretagne.
Le 30 juillet 1789, procès-verbal des habitants de Sarzeau relatant des attroupements d'individus les 23 et 29 juillet 1789 venant des paroisses de Surzur, Theix, Berric et Lauzach à la recherche des marchands de grains et de fusils.
Le 30 juillet 1789, extrait du registre des délibérations de la ville de Vannes portant dépôt par le maire de Sarzeau, M. Le Quinio de Kerblay, du procès-verbal relatant les événements et troubles survenus à Sarzeau et dans les environs avec mention des remerciements des membres du corps politique de Vannes.